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Un air de paradis...

Photo du rédacteur: Jérôme DelireJérôme Delire


Moi-même en regardant les photos le soir, je me surprends encore à décrire un cercle du bout de mes lèvres, qui se rétrécit puis s’agrandit aussitôt pour enfin expirer un

« Waouw »…




Le décor est grandiose, les couleurs sont uniques.

L’atoll est habité plus à l’Ouest et les locaux viennent ici uniquement pour faire le coprah.

Cet extrait de noix de coco sera ensuite expédié vers Tahiti pour créer les cosmétiques en tout genre, le monoï principalement. Très apprécié de tous les Polynésiens, nous avons vite compris ses utilisations et en consommons régulièrement ! Utile pour nourrir la peau et les cheveux continuellement exposés au soleil et aux embruns, le monoï est aussi utilisé pour chasser les « nonos », sorte de petites mouches qui agressent la peau, très présents sur les plages polynésiennes. En enduisant la peau d’une fine couche de monoï, elle devient suffisamment grasse pour éviter que le nono ne s’agrippe et ne morde…

Nous avons la chance d’utiliser un monoï de qualité, aux senteurs vanille et noix de coco, proposé par notre partenaire Les Laboratoires de Biarritz, on ne peut plus s’en passer !


Extrait du journal de Bord :


«… Jusqu’à présent, c’est ici que la couleur de l’eau se décline en innombrables teintes de bleus sur un espace très réduit. L’eau peu profonde est translucide, transparente. Ensuite plus on descend dans les profondeurs, plus le bleu turquoise se dégrade du clair au foncé. Et subitement, les fonds plongent. On passe la barre des 8-10 mètres et l’eau devient bleue. Une véritable ligne, très franche, sépare les deux couleurs instantanément. Il n’y a pas de mélange progressif, c’est la fracture nette. Plus les fonds augmentent, plus la couleur devient elle aussi profonde, comme le bleu de l’Océan. Un bleu qui donne le vertige. Un bleu dont on a l’impression de voir à 100 mètres. Pour moi assurément le plus beau de la déclinaison des bleus. Celui dont on place volontiers l’adjectif « Grand » devant, celui qui illustre le mieux la couleur du large, de l’infini. Le bleu auquel on tombe amoureux pour la vie et qui continue de me faire rêver. »








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