Variant très agressif du virus « voiluxàvix » dont sont atteints tous les navigateurs, le planchavirus est à prendre au sérieux !
Il provoque des spasmes importants lorsque le sujet n’est pas sur l’eau mais qu’il ressent le vent siffler dans ses oreilles. Avec possibilité d’agressivité lorsque les prévisions de vent s’annoncent idylliques sur les prochains jours sans que le sujet n’ait l’occasion de se mettre à l’eau… Démangeaisons, sueurs, tremblements, nervosité, les symptômes sont absolument terribles.
Mais rassurez-vous, le remède est connu de tous !
Rien de plus simple : gréer et aller sur l’eau au plus vite !
Sentir la planche sous ses pieds, à la limite de la perte de contrôle, rend instantanément force, vigueur et bien-être au malade. Les symptômes s’estompent, la santé revient, la guérison est instantanée.
Le planchavirus, on le contracte malheureusement à vie. Impossible d’en guérir.
Dans sa forme la plus grave, le portefeuille est aussi un dommage collatéral important… !
Il n’est parfois pas possible de contenir le désir de s’équiper afin de pouvoir bénéficier de la moindre risée de vent lorsqu’elle se présente.
Alors lorsqu’on rencontre Sarah Hébert et Aurélien Le Metayer, la distanciation sociale ne suffit pas !
Le virus se transmet malgré nous, il finit par se propager et nous ressentons à notre tour le besoin maladif d’aller sur l’eau. De goûter aux plaisirs de la glisse et du planning...
Bon. Reste à résister à la forme grave, sans quoi le budget va devoir passer en réanimation…
Comments